Teddy Riley évoque “JAM”

Teddy Riley s’est associé à l’application audio 3D Audible Reality lancée le 31 août, sur iOS et Android, et dont le but est d’amener l’audio haute définition à un format plus accessible.

Conçu pour permettre aux auditeurs de musique de découvrir leurs chansons préférées à travers différents filtres audio, ou «Vibes» comme on les appelle sur l’application, Audible Reality cherche à être l’Instagram de la musique pour l’audiophile. Les utilisateurs peuvent synchroniser l’application avec la plate-forme de streaming de leur choix et parcourir une multitude de Vibes différentes (avec des noms tels que Diamond, Five O ‘Clock et Intimate) qui peuvent remodeler le son sans l’aide de haut-parleurs ou d’écouteurs design.

Pour aider ses fans à découvrir le concept, Riley a créé ses propres Vibes exclusivement pour l’application Audible Reality afin de coïncider avec la première de son nouveau single «Dance 4 Glory». Cette chanson propose ce que Riley décrit comme une approche de la musique inspirée par les tribus africaines comme un mécanisme de guérison global en cette période chaotique.

Dans un chat vidéo diffusé le 3 septembre en direct via Instagram avec le créateur d’Audible Reality, Teddy Riley s’est souvenu de la première fois qu’il a expérimenté le concept de l’audio 3D.

C’était il y a presque 30 ans lors de la réalisation de «Dangerous» de Michael Jackson.

T. Riley a confié avoir utilisé un système Roland RSS Space Sound Compressor. (A l’époque, ce système était tout nouveau et révolutionnaire. Il permettait de créer un espace 3D sur un appareil stéréo).

Riley a aussi expliqué avoir filtré sa voix à travers cet équipement aujourd’hui disparu afin de créer le compte à rebours «1-2-3-4» en son surround pour l’intro du titre «Jam» à une époque où une telle technologie était trop coûteuse et trop encombrante pour être accessible au public.

C’était en fait composé de huit boutons, quatre en haut, quatre en bas […] que l’on tournait et qui permettaient de déplacer les voix; vous pouviez envoyer les voix à tel endroit, d’autres voix à tel autre […] mais avoir la partie principale chantée en stéréo qui constituait la base du morceau.

Mais tous les trucs complexes comme les percussions et toutes les différentes choses que j’ai mis là-dedans sonnent un peu partout parce que nous utilisions ce truc appelé RSS fait par Roland“.

Sources : Audible Reality / Teddy Riley / MICHAELzine

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